"Surcharge de travail, temps qui manque, excès de responsabilités, trop d'informations, beaucoup d'individualité, tension à foison, stimuli surabondants, complexité des choix : terrain propice et fréquent pour perdre momentanément ou durablement les repères et le nord.

C'est cet état interne que nous avons voulu transposer.

Notre exposition est aussi un hommage à l'esthétique fragmentaire, multipolaire, heurtée et toujours d'actualité des photos des années 1960 de William Klein et Lee Friedlande".

Carlo Werner, curateur de l'exposition